Dernières mises à jour

Des psychologues ou des psychiatres prennent en charge les personnes souffrant de troubles psychiques. Des personnels de surveillance bénéficient également d’une formation.
Les détenus peuvent demander leur transfert dans un établissement psychiatrique. La décision relève du médecin et du directeur d’établissement, tout comme de celle du directeur de la structure d’accueil.

  • Le médiateur parlementaire pour l’administration publique (Sivilombudsmannen) publie, le 17 janvier 2019, un rapport sur la situation des personnes souffrant de troubles psychiques à la prison de Bergen. Il critique le recours au placement en “cellule de sécurité” pour des personnes en situation de crise et l’absence de contact qui en résulte. Il s’inquiète également du défaut de traitement médical adapté. Cette situation résulterait, selon le médiateur, d’un manque de personnel.

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    17/01/2019
    / FrigFagbevegels

La personne jugée pénalement irresponsable ne peut être condamnée.
L’hospitalisation psychiatrique sous contrainte ou pour handicap mental grave est soumise à conditions. Certains détenus, qui devraient bénéficier de la mesure, exécutent leur peine isolés en prison.

  • Le gouvernement norvégien décide, en mai 2019, la construction d’une unité psychiatrique au sein de la prison d’Ila (Oslo). Un budget de 18 millions de couronnes (2,1 millions de dollars) est prévu à cet effet. Cette décision fait suite à une réunion, le 7 mai 2019, du Conseil des droits de l’homme (CDH) des Nations unies.
    Le nombre des personnes détenues souffrant de maladies psychiques représente 15 % à 20 % de la population carcérale norvégienne.

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    05/2019
    / NewsinEnglish.no